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Fedris vous verse une indemnité, une rente ou une allocation à la suite d'un accident du travail ? En fonction de votre situation, ce paiement est mensuel, trimestriel ou annuel. Les paiements annuels sont effectués en novembre ou décembre. Vous pouvez trouver la date exacte de votre paiement sur notre page sur les dates de paiement des accidents du travail.

Le bureau régional  de Liège fermera  définitivement ses portes à partir du 01/01/2025. D'ici là, vous pouvez le visiter du lundi au mercredi de 9h à 16h. En outre, vous pouvez toujours nous joindre par téléphone tous les jours au +32 2 272 23 69.     

Les bureaux régionaux de Hasselt et Liège fermeront définitivement leurs portes dès le 1/1/2025.

D'ici là nous vous accueillons à Hasselt tous les mardi et jeudi et à Liège tous les jours (hormis les jeudi et vendredi au mois d'août).

Une permanence téléphonqiue a lieu à Hasselt tous les jours de 9h à 16h au numéro +32 2 272 23 99 

La permanence téléphonique a lieu à Liège tous les jours de 9h à 16h au numéro +32 2 272 23 69 (sauf les vendredi durant le mois d'août).

En raison d'une panne mondiale du service Skype, Fedris n'est actuellement pas disponible par téléphone. Cependant, vous pouvez toujours nous contacter par e-mail. 

Nous nous excusons pour ce désagrément.

L’arrêté royal du 9 avril 2024 et l’arrêté ministériel du 24 avril 2024 (parus au Moniteur Belge du 26 avril 2024, avec entrée en vigueur au 1er juin 2024) prévoient plusieurs modifications en matière d’accident du travail dans le secteur public :

1. Actualisation du modèle de déclaration d’accident du travail : l’arrêté ministériel du 24 avril 2024 fixe le nouveau modèle de déclaration d’accident (sur le chemin) du travail dans le secteur public.

2. Un certificat médical de premiers constats, anciennement appelé « modèle B », doit être joint à la déclaration d’accident dès que l’accident occasionne une incapacité temporaire de travail, même limitée à un jour.

3. Il n’existe plus de modèle spécifique de certificat médical de premiers constats. N’importe quel certificat médical qui contienne les informations minimales précisées dans l’arrêté royal du 9 avril 2024, article 8, peut faire office de certificat médical.

4. Les documents peuvent être transmis soit par voie électronique (avec accusé de réception), soit par remise en mains propres (avec accusé de réception), soit par envoi recommandé. Lorsque la notification d’un document fait courir un délai, le point de départ de ce délai sera le jour suivant l’accusé de réception ; en absence d’un accusé de réception, le point de départ du délai sera le 3è jour ouvrable suivant l’envoi. Les documents transmis entre l’employeur et le service médical peuvent être envoyés par courrier ordinaire. L’employeur rentre la déclaration d’accident du travail à Medex en utilisant la banque de données de Fedris via le portail de la sécurité sociale, PUBLIATO.

5. Suppression du certificat médical de guérison : pour les accidents dont l’incapacité temporaire de travail est inférieure à 30 jours, l’employeur notifiera à la victime une déclaration de guérison six mois après l’accident du travail. Si la victime estime ne pas être guérie, elle transmettra dans ce même délai un rapport médical circonstancié attestant d’une incapacité permanente de travail.

6. L’employeur public est entièrement lié par les conclusions du service médical compétent ; en revanche, le juge n’est pas lié par les conclusions de ce service médical.

7. L’hypothèse du décès de la victime, en lien ou non avec l’accident, est mieux prise en compte tout au long de la procédure administrative.

8. Le service médical compétent constate l’aggravation / l’atténuation du taux d’incapacité permanente. Les effets de la révision, des allocations d’aggravation, des allocations de décès débuteront le 1er jour du mois dans lequel s’inscrit l’aggravation ou le 1er jour du mois qui suit le mois dans lequel s’inscrit l’atténuation.

En collaboration avec Fedris, le SPF Emploi a lancé un site web qui centralise la plupart des données belges sur les risques professionnels et les conditions de travail. Il réunit des données et statistiques provenant de différentes sources et les met à disposition du plus grand nombre possible de parties prenantes : décideurs politiques, partenaires sociaux, experts, entreprises, etc.

Un outil important pour ajuster les politiques visant à garantir le travail durable tout au long d’une carrière.

Quelle type de données ?

Le site web Datamining propose plus de 550 indicateurs répartis en 3 grands thématiques liées aux risques professionnels :

• Dangers et expositions : organisation du travail, contenu du travail, conditions et relations, …
• Conséquences et dommages : absentéisme, incapacité de travail, conciliation vie privée - vie professionnelle, santé perçue, …
• Prévention : gestion des risques, formation à la santé et à la sécurité, inspection, …

Ces indicateurs sont présentés sous forme de graphiques interactifs pour que les utilisateurs puissent les visualiser facilement à l’aide de différents filtres (sexe, âge, secteur d’activité, année).

Les données proviennent de différentes sources telles que, par exemple, les institutions de sécurité sociale, les services externes de prévention, les secrétariats sociaux, des enquêtes spécifiques.

Pourquoi ces données sont-elles importantes ?

Il est important de disposer en Belgique de données permettant de suivre l’évolution des risques professionnels et des conditions de travail. Obtenir une vision globale, commune et numérique de ces données permettra aux acteurs du bien-être au travail de mieux ajuster les politiques et les mesures à prendre, tant en matière de sensibilisation que de prévention. Le défi consiste à garantir des conditions de travail durables qui préservent la santé physique et mentale des travailleurs tout au long de leur carrière.

Ce projet est financé par l’Union européenne dans le cadre du Plan national belge pour la Reprise et la Résilience (PRR).

Consultez le site web Datamining

La vaccination et la circulation du virus ont créé une immunité collective contre le coronavirus. Ce virus est désormais considéré comme un virus respiratoire "normal". Il n'y a donc plus de raison de traiter la COVID-19 différemment de la grippe, qui n’est pas reconnue comme maladie professionnelle.

Par conséquent, Fedris a décidé de ne plus reconnaître la COVID-19 comme maladie professionnelle à partir du 1er mars 2024. Cela signifie que la reconnaissance dans le cadre du système liste (y compris le code 1.404.03) n'est plus possible. L'introduction d'une demande est théoriquement encore possible par le biais du système ouvert. Les chances de reconnaissance deviennent alors très faibles car le demandeur doit prouver l'exposition professionnelle.

Bien entendu, Fedris suit la situation épidémiologique et modifiera sa position si nécessaire en fonction des nouvelles informations disponibles.